La coécriture et la relecture de contenus :

pensez à une mise en commun de vos talents et des miens !

 

Le coécriture et la relecture de vos contenus en français font aussi partie des accompagnements que je vous propose.

Au même titre que cocréer vos crowdfundings et vos podcasts.

Faire appel à un correcteur humain d’orthographe « traquant » les coquilles dans vos textes, vous y avez déjà songé ?

Selon l’adage : « Il y a plus dans plusieurs têtes que dans une » ! Qu’en pensez-vous ?

Voir plus vite que mon ombre les « fautes » de petite frappe est l’un de mes « dons ». Comme de jouer avec les mots, en français, depuis très jeune.

J’ai été prof de français, j’ai relu des mémoires d’étudiants et les publications – infolettres, magazines, … – de mes différents employeurs.

Après, personne n’est à l’abri d’un oubli ou d’un choix technologique s’opérant à son insu, d’une hésitation sur la bonne orthographe comme dans l’extrait suivant :

« Il y a un mois, j’ai vu Kurt courir en short court. Il m’a dit qu’il court régulièrement jusqu’à son cours pour apprendre la chasse à courre. Cela a lieu dans la cour, nommée « La Cour des miracles ». Cette cour ressemble davantage à un court de tennis où se tenaient naguère de courtes courses … Au final, je fus pris de court, à court d’arguments, le souffle court ! Et vous à ma place ? Sachez que je le croise souvent depuis lors. Kurt (et non Laure) court toujours en culottes courtes. Une histoire au long cours ! « 

La redondance ou la cogitation sur certains éléments de syntaxes comme  « Incessamment » ou « Sous peu », pas les deux ensemble ! 

Cela m’horripile quand je connais la personne derrière le contenu truffé de gaffes auxquelles il / elle n’a pas forcément « fait gaffe ».

Sachant aussi que le potentiel de votre activité ne mérite pas d’être remis en cause ni votre image de marque écornée à cause d’erreurs d’inattention ou de l’action automatisée du correcteur d’orthographe :

« J’ai la chance d’aller à la chasse aux œufs. » devenant « … à la chiasse aux vieux. » !

Cela prête à sourire quand nous le lisons chez quelqu’un d’autre.

Telle une contrepèterie comme la comptine pour enfants : « Il court, il court le furet. »

En fait, au départ, à l’époque de Philippe d’Orléans (après Louis XIV), il s’agissait d’une blague grivoise d’adultes pour désigner le curé Dubois, conseiller du régent, fort porté sur la luxure : « Il fourre, il fourre le curé ! ». 

C’est nettement moins « rigolo » quand quelqu’un vous le signale dans l’une de vos productions !

Le français, comme toute autre langue, vous l’écrivez du mieux que vous pouvez en fonction de si c’est votre langue maternelle ou non, du temps de rédaction et de relecture que vous pouvez accorder à vos publications, de votre milieu socioculturel :

« J’ai écris ce texte vite fais la tête dans le cul ce matin. » au lieu de « J’ai écrit ce texte vite fait … »

Selon votre scolarité dans une autre langue, de votre vie à l’étranger avec peu ou plus de contacts avec d’autres personnes francophones, d’un rythme de vie exacerbé qui vous fait écrire et envoyer des courriels la nuit sans les relire, d’une maladie comme la dyslexie, … Et j’en passe !

L’idée : chacun possède un ou plusieurs talents. Mutualisons-les. Coécrivons ou déléguez-moi la reformulation et/ou la relecture de vos écrits en français !

 

Parmi les photos ci-dessous, je vous ai mis un florilège trouvé dans des lieux publics, des écrits d’entrepreneurs, la presse belge ou des livres de grands éditeurs.